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mardi 9 octobre 2012

Léna sène primé au usa


Léna Sène primée par un magazine américain


Selon nos confrères de l'AS, la directrice de campagne de Idy4President de la Présidentielle 2012 vient d’être primée. Savoy magazine a choisi Léna Sène comme étant une des  femmes les plus influentes de l’année 2012  au sein des  entreprises américaines. Ce choix fait suite au rayonnement de sa personnalité mais aussi à l' engagement dont elle a fait preuve en faveur de l’entreprise et de la communauté.

Lena Séne Parle


Léna Sène : « J'aime la musique de Youssou Ndour … et je danse souvent pour décompresser »La toute nouvelle Directrice de campagne du candidat Idrissa Seck n'a pas réussi à cacher son côté mélomane de la musique sénégalaise, le Mbalakh. Dans un long entretien accordé à l'observateur, Léna Séne affirme qu'elle est fan de Youssou Ndour. 


« J'adore la musique et la danse. J’ai toujours ma musique de Youssou Ndour que j’aime beaucoup. J’ai amené ses morceaux avec moi aux Etats-Unis que j’écoutais pour me relaxer. Je l’écoute dans ma chambre et je danse pour décompresser. Et ça fait du bien, croyez-moi. » Déclare t-elle. 

Interpellée sur son statut de célibataire, la ravissante Léna se dit préoccupée par sa carrière. « Mon plus grand rêve, c’est de fonder une famille car pour moi c’est sacré. D’autant plus que les hommes sont là, mais ma priorité reste ma carrière… » 

Idrissa Seck parle

La cérémonie de présentation de condoléances suite au décès de sa nièce Aminata Niang a été l’occasion pour l’ancien maire de Thiès, Idrissa Seck de revenir sur ses relations avec le président Abdoulaye Wade et ses rapports avec son fils Karim Wade. 
Source : Nettali 


C’est devant une forte délégation composée de personnalités comme le ministre Awa Ndiaye, le député Aminata Tall, mais aussi Landing Savané, secrétaire général d’And-Jëf/Parti africain pour la démocratie et le socialisme (Aj/Pads) que l’ancien Premier ministre Idrissa Seck a abordé ses relations avec le président Abdoulaye Wade, secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (Pds). Et c’est pour dire qu’entre Abdoulaye Wade et lui, il y a toujours eu des relations de père et fils. Et de préciser : « Il n’a jamais été question de deal. » 

A l’en croire, entre lui et son « père », il y a des choses qui n’ont pas été révélées jusqu’ici. « Mais, dit-il, Wade ne peut pas dire que j’ai essayé de porter entrave à l’exercice de son pouvoir. » « Il ne l’a jamais dit. S’il le dit un jour, conformément à la demande des chefs religieux qui m’ont invité à lui demander pardon, je le ferai », rassure l’ancien secrétaire général national adjoint du Pds. De la même manière, Idrissa Seck soutient que Karim Wade restera toujours son « petit frère ». 

En outre, l’ancien Premier ministre est d’avis que tout le monde s’accorde pour dire que le pays va mal.

Alioune Ndiaye de Fékké ma ci boolé parle


Alioune Ndiaye : «Fekkee ma ci Boole devient un parti politique en 2013»

Aliou Ndiaye, coordonnateur du mouvement "Fekkee ma ci Boole", créé par Youssou Ndour en octobre 2011, quelques mois avant la Présidentielle 2012, était à Milan, lundi 01 octobre 2012, dans le cadre d’une rencontre de prise de contact avec les principaux responsables en Italie. Occasion saisie par le collaborateur de l’ex-Roi du Mbalax pour faire d’importantes révélations sur le futur du mouvement.


Dans une interview (vidéo) réalisée par un certain Baye Diouf (en ouolof) et signée "Yooku TV, diffusé sur "Youtube", le responsable du mouvement "Fekke ma ci Boole", Alioune Ndiaye, a d’abord expliqué les raisons de la proximité avec les émigrés qui vivent en France. Aliou Ndiaye fait remarquer que "FMCB" ne se fixe pas de frontières et qu’il allait visiter tous les pays où se trouvent des Sénégalais.

L’intervieweur a également déploré le fait qu’on ne voit plus Youssou Ndour animer son mouvement depuis sa nomination aux fonctions de ministre. A ce propos, Alioune Ndiaye indique que chacun doit jouer pleinement son rôle. «Occupé par son travail de ministre de la République, Youssou Ndour ne peut consacrer trop de temps à "Fekkee ma c Boole". Mais comme j’en suis le Coordonnateur, mon rôle est d’élargir les bases du mouvement. C’est ce qui explique ma présence, ici, en Italie», répond l’ancien directeur de la radio RFM.

Dans sa lancée, M. Ndiaye a annoncé la mutation de "Fekkee ma ci Boole" en parti politique. "Il n’y a rien de plus important que "Fekkee ma c Boole". Nous restons fidèles à nos convictions. Et je puis vous informer que d’un mouvement de la socialité civile, notre ambition, qui fait aujourd’hui l’objet de discussions en notre sein, est de quitter ce statut pour devenir un parti politique», révèle Alioune Ndiaye. Alors, dit-il, «quand on a l’ambition de devenir un parti politique, on ne peut pas s’éloigner de la base qu’on avait constituée. D’ailleurs, Youssou Ndour l’a dit dans une de ses chansons : "ce que vous avez fait et qui vous a réussi, ne le laissez plus"».

Le patron de "FMCB", qui a raté la députation pour n’avoir pas té retenu sur la liste de "Bennoo Bokk Yakaar", précise que c’est ce qui explique d’ailleurs sa tournée européenne, qui n’a d’autre objectif que de «sensibiliser les militants» qui vivent dans le vieux continent, en Amérique et en Afrique. Parce que, ajoute-t-il, «nous préparons quelque chose, qui n’est rien d’autre que notre premier congrès». C’est à l’occasion de ces assises que le parti du "Roi du Mbalax" sera porté sur les fonts baptismaux.

En passant, Alioune Ndiaye affirme qu’au Sénégal, «beaucoup de mouvements se réclament de partis politiques, alors qu’ils ne le sont pas dans les fats». Parce qu’un parti politique, dit-il, «où un seul homme est propriétaire des chaises, de tout le mobilier et matériel, un parti où il suffit de te disputer avec l’épouse du leader pour en être exclu dès le lendemain, ce n’est pas un parti».

Sans préciser la date du congrès de constitution du parti, bien qu’il affirme celui-ci aura début 2013, Alioune Ndiaye affirme que le futur parti de "You" portera toujours le nom de "Fekkee ma ci Boole", tout comme il a manifesté l’intérêt de ce mouvement pour la culture, l’immigration, l’emploi, entre autres préoccupations des Sénégalais d’Italie.

mamadou diagne fada du pds parle


« Personnellement, je n'ai aucun problème avec l'existence de courants au sein du Pds. Je suis pour des courants d'idée, et la modernité ne l'exclut pas. Par contre, je suis à l'heure actuelle, contre la création de courants. Nous sommes dans une phase de reconstruction du Parti, de remobilisation de réflexion. Nous sommes en train de voir comment regrouper l'opposition, les syndicats, pour faire face au pouvoir. A ce moment précis, parler de courant me semble un sujet de diversion. Mieux, il n'y a aucun article du règlement intérieur du parti qui organise les courants », a dit Modou Diagne Fada.
Par Mamadou Gaye ( mamadougaye@leral.net ) www.leral.net

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